Hassouna Mosbahi

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Hassouna MosbahiNé en 1950 à El Ala (Kairouan), se définit comme un écrivain multiple : romancier, écrivain, essayiste.

Parmi les nombreuses œuvres de Hassouna Mosbahi, citons  :

  • Les nouvelles «Contes de ma cousine Hniyya» (Hikayette bent ami Hania) (1986), pour lequel il reçoit le Prix de la nouvelle en Tunisie, décerné par le ministère de la Culture ;
  • La Tortue (1996), longue nouvelle qui a été sélectionnée en 2000, comme l’une des cinq meilleures nouvelles d’Afrique par un jury présidé par le Nobel de littérature J. M. Coetzee ;
  • «La nuit des étrangers» (1997) ;hassouna mosbahi livre
  • «La princesse bleue» (2006)

Il a publié plusieurs romans dont :

  • «Hallucinations de Tarchich» (1995), prix Tukan de la ville de Munich où il a séjourné pendant plus de vingt ans, prix qui a été décerné pour la première fois à un écrivain étranger ;
  • «Les autres», paru en 1998 ;
  • «Adieu Rosalie» (wadean Rosalie) (2002), roman né de la guerre du Golfe, récit d’un cauchemar, du désespoir et du bonheur perdu à jamais;
  • «Fleur d’oléandre» (2004), prix de la critique du Comar d’or ;
  • «Epines et jasmin» (2015), publié par éditions Perspective.
  • «Histoire tunisienne», roman bien accueilli dans le monde arabe, à paraître en anglais aux éditions Banipal à Londres.

En 2016, il remporte le prix « Mohamed Zafzef » du roman arabe dans sa sixième édition. Ce prix consacre son parcours riche de plusieurs ouvrages et sa forme d’écriture qui traite de sujets d’actualité tels que la violence et la quête de Liberté.

Certains de ses romans ont été traduits en Allemand.

«La langue, comme instrument d’écriture, et le moyen d’expliciter sa vision du monde, qui a une raionnance particulière dans ses écrits. Elle renait de sa sensibilité, de sa mémoire affective, de son rapport sensoriel aux choses, de son identité et de la mémoire collective. Il l’adopte dans des univers linguistiques multiples qui oscillent entre poésie, patrimoine oral et récits. Tout en affirmant son identité, l’écrivain arrive à se forger sa propre langue, son propre style, ses propres métaphores. Toujours en quête de procédés d’écriture nouveaux, il tente de rompre avec les schémas classiques de l’approche littéraire et de l’esthétique romanesque.» (Source : Faiza Messaoudi letemps.com.tn)

Références : http://www.limag.refer.org/new/index.php?inc=schaut&numaut=00010189&go=Rechercher&aff=ok

http://www.realites.com.tn/2014/03/le-romancier-hassouna-mosbahi-a-beit-el-hekma-je-ne-suis-pas-revolutionnaire-mais-ecrivain/

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